jeudi 4 avril 2013

Bienvenue sur le blog des critiques littéraires des secondes quatre du lycée Condorcet - 94-.


Les élèves de cette classe ont choisi un ouvrage, soit parmi les Prix Goncourt lycéens des dernières années, soit dans la série des Rougon-Macquart d'Emile Zola et ont écrit une critique sous forme de billet de blog et imaginé des commentaires contradictoires publiés sous des pseudonymes fantaisistes.

Ce sont ces travaux qui sont présentés ici.

Vous pouvez à votre tour commenter leur travail en vous identifiant...

Prix Goncourt lycéen 2011 : du domaine des murmures, crtitique par Marina Vieira.


DU DOMAINE DES MURMURES



Présentation

Du domaine des murmures a été écrit par Carole Martinez, qui a déjà reçu de nombreux prix littéraires pour ses autres œuvres. Il  est paru le 18 août 2011 et a remporté le prix Goncourt des lycéens de 2011. Ce livre est publié aux éditions Gallimard dans la collection Blanche et est vendu à 16,90€. L’auteur, nous entraîne à la suite d’une jeune fille de quinze ans, Esclarmonde, en 1187, au domaine des Murmures. Le récit débute le jour de son mariage où celle-ci refuse de se marier avec son prétendant et décide de vouer à Dieu, en étant emmurée dans une cellule avec pour seule ouverture sur le monde une fenestrelle. Pendant des années, celle-ci dans cette chapelle où elle se livrera à Dieu et entrainera son père dans une guerre de religion en Terre Sainte. Loin d’être seule, elle est considérée comme une sainte par tous les pèlerins, on lui assimile des miracles, on vient lui demander conseils et se confesser auprès d’elle. Cependant, un évènement imprévu va venir la bouleverser et la faire douter de ses choix. 

                                                                                                                Le 30/01/2013, par VIEIRA Marina
 
3 commentaires
A lire absolument ! Carole Martinez nous emporte dans cette histoire médiévale au près d’Esclarmonde. Ce conte à la fois mystique et poétique nous transporte loin des modes de vie d’aujourd’hui et nous fait vivre les peurs d’une jeune fille du Moyen Age, ainsi que tout se qu’elle doit faire pour pouvoir échapper a certaines obligations. On vit avec Esclarmonde dans sa tombe, on ressent ses peurs, ses envies, ses doutes et parfois sa joie. J’ai savouré ce livre et j’ai été deçu de l’avoir fini aussi vite. Un beau roman. J 
Par fandelivre29 le 06/02/2013 à 16h43
J’ai été très décu par ce livre, j’en avais pourtant entendu que de bonnes choses. Le début du livre ne donne absolument pas envie de continuer, et le reste est assez ennuyeux. D’une part, certains passages sont longs, il y a très peu d’action, l’intrigue n’est pas très bien ficelée et les personnages n’ont aucun intêret. D’autre part, le cadre temporel n’est pas bien choisi. Ce livre est une perte de temps, à ne surtout pas lire. L
Par bouhhh46 le 09/02/2013 à 08h57
Livre interessant. Cependant, assez long à démarrer et il n’y a pas vraiment d’action. Mais, les personnages sont très attachants surtout notre jeune recluse. Certaines citations resteront cependant des belles phrases comme « je suis celle qui s’est volontairement clôturée pour tenter d’exister » (p.17). A lire, petit à petit et quand vous avez beaucoup de temps pour pouvoir réussir à vous imprègner de l’univers médiéval du domaine des murmures.
Par mouai13 le 18/02/2013à 15h24

 

Prix Goncourt des lycéens 1990 : Le petit prince cannibale, critique par Gabriel Triail.


Le petit prince cannibale de Françoise Lefèvre, publié aux éditions actes sud en 1974


Publié par alexdu29 le 30 janvier 2013 : 3 commentaires

Chers internautes,

Je viens de finir ce livre de l’écrivaine Françoise Lefèvre dont j’ai particulièrement apprécié la lecture. Cette auteur a écrit de nombreux romans dramatiques depuis 1972 tels que Blanche, C’est moi ou encore La grosse.

 Le petit prince cannibale  ainsi que d’autres ouvrages de Madame Lefèvre sont publiés aux éditions actes sud et sont disponibles dans toutes les librairies en vente libre pour le modique prix de 7 euros ou consultables en bibliothèque.

Ce livre est une histoire de femmes. La narratrice, mère d’un enfant autiste, décrit sa relation difficile avec son fils qu’elle appelle « le petit prince cannibale» d’où le nom du livre. Ce surnom s’explique par le fait que l’enfant écoute attentivement jusqu’à « dévorer » ses paroles sans vraiment établir de réelle communication. La narratrice, accaparée par les soins que requiert son fils autiste, ressent le besoin de dialoguer avec un personnage imaginaire, appelé Blanche. Blanche, « double » de la narratrice intervient comme l’adulte raisonnable, la réconfortant dans les moments de tristesse et la rappelant à la réalité dans les moments de joie.

 Elle est à la fois une mère et une écrivaine qui entretient une relation particulière avec Blanche.

C’est un livre très touchant décrivant de manière très juste l’amour maternel de la narratrice pour son fils et des moments d’une tristesse bouleversante face aux progrès limités de son enfant. J’ai moins apprécié les échanges intimistes entre Blanche et la narratrice qui m’ont semblé artificiels dans le déroulement de l’histoire.

En conclusion, c’est un roman intéressant de par le sujet qu’il traite. Je recommande donc cet ouvrage à quiconque s’interroge sur les relations mère‑enfant autiste.

Commentaire publié par master56 il y a 17 minutes :

Contrairement à toi alexdu29 je n’ai absolument pas aimé ce livre qui manque cruellement d’action et qui ne m’a pas particulièrement incité à lire d’autres livres de Françoise Lefèvre. De plus l’absence de chapitres m’a perturbé durant la lecture puisque d’un jour à l’autre je n’avais pas de quoi me repérer dans le livre.

J’aime : 24 alerter contenu obscène

Commentaire publié par écureuildu35 il y a 38 minutes :

Je suis totalement d’accord avec toi j’ai trouvé ce livre extrêmement émouvant et profond par la manière dont la narratrice mêle deux personnes et par la façon dont elle s’occupe de son fils autiste. J’admire le fait qu’elle conjugue travail et famille même s’il y a quelques moments de tristesse que l’on partage avec elle en compatissant.

J’aime : 72 alerter contenu obscène    

Prix Goncourt des lycéens : Un secret, critique par Alice Tardif.






MERCREDI 30 JANVIER 2013

Un secret de Philippe Grimbert

Si vous aimez les romans historiques, si vous aimez les secrets de famille, si vous aimez les histoires d’amour, vous allez adorer ce roman.

Philippe, fils unique, d’origine juive, s’est inventé un grand frère imaginaire depuis son plus jeune âge comme si il s’était toujours douté d’un secret familial. A 15 ans, à l’occasion du visionnage d’un film sur les camps de concentration, il se bat avec l’un de ses camarades qui avait proféré une remarque antisémite. C’est l’occasion que saisit Louise, une amie de la famille, pour lui raconter l’histoire de ses parents.

Tania et Maxime, les parents de Philippe sont, avant la guerre, tombés fou amoureux l’un de l’autre alors qu’ils étaient déjà mariés chacun de leur côté. Ils ont repoussés cette forte attirance mais pendant la guerre, ils ont succombé malgré eux à leur amour. Le premier mari de Tania, Robert, meurt pendant la guerre. Quand à Hannah, la première femme de Maxime, elle était tellement désespérée par l’amour entre son mari et Tania, qu’elle se dénoncera à la Gestapo avec son fils Simon. Ils finiront leurs vies dans des camps de concentration où ils seront exterminés. Tania et Maxime se marient et ont un fils Philippe, le narrateur. Au moment où Philippe apprend enfin ce secret, il se trouve libéré de l’emprise de son frère imaginaire.

Cette histoire d’amour dans le cadre historique de la seconde guerre mondiale et de ses drames m’a passionnée. Cela m’a fait également réfléchir sur la perception des secrets de famille même bien gardés par des enfants souvent très jeunes.

 

 

                                                                                                                                 Publié par Lili.

 
 Commentaires

 

·         Cette histoire romanesque et incroyable est captivante. Je trouve également que la période de l’histoire est intéressante et riche en évènements. C’est un très beau livre, quelques passages m’ont émue… Lili, j’aime toujours autant tes goûts littéraires, ils sont tellement identiques aux miens, je ne suis jamais déçu. Merci pour ce magnifique blog.

                                                                                     Commentaire n°1 posté par Nanadu94 aujourd’hui à 9h32.

 
 

·         Pour moi, cette histoire ne tient pas debout, c’est invraisemblable. On n’y croit pas une seule seconde. Lili, je pensais que tu avais plus de goût que ça, que les tiens se rapprochaient des miens, visiblement non, je suis donc déçu par cet article sur un livre si inutile et si inintéressant à lire. Je suis un peu déçu…

                                                                                      Commentaire n°2 posté par Polo aujourd’hui à 10h16.

Prix Goncourt lycéen 2002 : la Mort du roi Tsongor, critique de Sylvain Soundararajou.


La mort du roi Tsongor, de Laurent Gaudé.



C'est un roman a pour sujet des origines d'un peuple africain, plus précisément d'une famille royale africaine. Il comporte un récit épique et initiatique.
 

Dans ce roman nous n'avons pas de temps précis juste quelques indications comme "cette nuit-là". Le lieu de l'histoire est Massaba, une ville en Afrique, on parle souvent du " Palais de Massaba.

Ce roman débute par raconter qui est le personnage de Tsongor et comment il est venu au pouvoir. Grâce à ses conquêtes. Et puis un jour lorsque le roi s'emparait d'un pays en brulant des villages, un villageois non-touché par ses offenses vint et se montra droit sans crainte devant Tsongor et promit de venger les siens en tuant l'homme commandant ses actes. Tsongor accorda la faveur de Katabalonga : l’homme venu défendre son village, Katabalonga aura désormais le droit de tuer Tsongor quand il voudra et ne lui reprochera quelque chose le moment venu. Des années plus tard le roi Tsongor décida de donner la main de sa fille a un prince fortuné mais la vieille de ce mariage un deuxième prétendant surgit et il s’avère que c’est un enfant qui a grandi dans le palais auprès du roi, de plus il venu à cause de la promesse faite par Samilia (fille du roi) auparavant qui était de se marier avec Sango Kerim. Ne sachant plus quoi faire, le roi pour éviter la guerre entre Sango et Kouame (le roi des Terres de sel) se donna la mort devant le porteur du tabouret d’or : Katabolonga. Contrairement à l’attente du roi, la guerre éclata entre les deux prétendants et leurs armées (respectifs). Et c’est à Souba le plus jeune des fils du roi que revient la tâche de construire 7 tombeaux à différents endroits de maniéré à retracer les actes et la mémoire de son père. Le jour du deuil, Souba parti muni d’un voile de deuil et d’une mule.

 

Je trouve que ce roman est excellent et qu’il mérite tout à fait d’avoir le prix Goncourt des Lycéens 2002 car l’histoire de ce livre est très plaisante et très réaliste. Ceci est dû à la précision des descriptions des scènes. On n’est transporté du début à la fin dans ce conte africain. L’écriture est belle et simple à comprendre, les personnages sont très bien introduits.

En revanche les scènes de bataille sont extrêmement bien décrites que l’on vit l’action en même temps. C’est « l’inconvénient » de ce livre. Par exemple lors du suicide du roi Tsongor, l’action qui va de l’entaille de ses veines jusqu’à son souffle final arrive l’action est parfaitement décrit cela pourrait être un réel avantage mais ceci donne aussi une pensée négative du livre.

 

Commentaires :       

Je trouve que ce livre est indispensable car, il retrace bien l’histoire d’une famille royale.

Comme toi je trouve que ce livre est un incontournable mais le sang, les batailles sont tellement forcée qu’il m’écœure un peu.

C'est un roman a pour sujet des origines d'un peuple africain, plus précisément d'une famille royale africaine. Il comporte un récit épique et initiatique.

Dans ce roman nous n'avons pas de temps précis juste quelques indications comme "cette nuit-là". Le lieu de l'histoire est Massaba, une ville en Afrique, on parle souvent du " Palais de Massaba.

Ce roman débute par raconter qui est le personnage de Tsongor et comment il est venu au pouvoir. Grâce à ses conquêtes. Et puis un jour lorsque le roi s'emparait d'un pays en brulant des villages, un villageois non-touché par ses offenses vint et se montra droit sans crainte devant Tsongor et promit de venger les siens en tuant l'homme commandant ses actes. Tsongor accorda la faveur de Katabalonga : l’homme venu défendre son village, Katabalonga aura désormais le droit de tuer Tsongor quand il voudra et ne lui reprochera quelque chose le moment venu. Des années plus tard le roi Tsongor décida de donner la main de sa fille a un prince fortuné mais la vieille de ce mariage un deuxième prétendant surgit et il s’avère que c’est un enfant qui a grandi dans le palais auprès du roi, de plus il venu à cause de la promesse faite par Samilia (fille du roi) auparavant qui était de se marier avec Sango Kerim. Ne sachant plus quoi faire, le roi pour éviter la guerre entre Sango et Kouame (le roi des Terres de sel) se donna la mort devant le porteur du tabouret d’or : Katabolonga. Contrairement à l’attente du roi, la guerre éclata entre les deux prétendants et leurs armées (respectifs). Et c’est à Souba le plus jeune des fils du roi que revient la tâche de construire 7 tombeaux à différents endroits de maniéré à retracer les actes et la mémoire de son père. Le jour du deuil, Souba parti muni d’un voile de deuil et d’une mule.

 

Je trouve que ce roman est excellent et qu’il mérite tout à fait d’avoir le prix Goncourt des Lycéens 2002 car l’histoire de ce livre est très plaisante et très réaliste. Ceci est dû à la précision des descriptions des scènes. On n’est transporté du début à la fin dans ce conte africain. L’écriture est belle et simple à comprendre, les personnages sont très bien introduits.

En revanche les scènes de bataille sont extrêmement bien décrites que l’on vit l’action en même temps. C’est « l’inconvénient » de ce livre. Par exemple lors du suicide du roi Tsongor, l’action qui va de l’entaille de ses veines jusqu’à son souffle final arrive l’action est parfaitement décrit cela pourrait être un réel avantage mais ceci donne aussi une pensée négative du livre.

 

Commentaires :       

Je trouve que ce livre est indispensable car, il retrace bien l’histoire d’une famille royale.

Comme toi je trouve que ce livre est un incontournable mais le sang, les batailles sont tellement forcée qu’il m’écœure un peu.

Prix Goncourt des lycéens 2011 : Du domaine des murmures, critique par Laurelène Sachs.


BLOGlili'térature




DIMANCHE 27 JANVIER 2013

DU DOMAINE DES MURMURES



Du Domaine des murmures est roman de Carole Martinez écrit en 2011. Ce roman, paru aux Éditions Gallimard, est un ouvrage de 204 pages vendu au prix de 16,90euros et disponible dans tout les kiosques.
Carole Martinez est un écrivain français née en 1966. Son premier roman, Le cœur cousu, a remporté à Saint-Malo en 2007 le troisième prix Ouest-France Étonnants Voyageurs.
Avec son roman Du Domaine des murmures, elle est récompensée par le Prix Goncourt des Lycéens.
Dans son deuxième roman, Carole Martinez nous plonge dans le secret des Croisades et le monde de la chrétienté. Elle nous offre sa vision de l'époque médiéval avec ses histoires merveilleuses et ses destins dictés par Dieu. En nous racontant la foi d'une jeune fille, Esclarmonde, et en nous rapportant ses plus profondes pensées et espérances; Carole Martinez nous fait ressentir toute la terreur et la violence de cette époque.

Esclarmonde en s'opposant au choix de son père en refusant de se marier, va préférer s'offrir à une seule personne et ne faire plus qu'un avec elle, Dieu. Dans son réduit, elle n'aura plus qu'une seule ouverture à la vie extérieur, une petite fenêtre à travers laquelle elle écoutera et conseillera son peuple dans ses difficultés et ses malheurs. Par sa seule parole, elle repoussera la mort au delà des remparts du domaine et deviendra une prophétesse auprès de tout un peuple. Mais, sans en avoir la volonté, la jeune fille tombera enceinte, et le fruit de ce miracle deviendra un miracle attirant des pèlerins venant chercher la bénédiction de la jeune recluse et de son enfant. Malgré cette naissance divine, le père d' Esclarmonde en deviendra fou et partira en Croisade sur la demande de sa fille. Quel lourd secret se cache derrière cette naissance merveilleuse ?

De péripéties en péripéties et a travers la vue d' Esclarmonde, l'auteur nous entraîne dans le voyage de son père parti en Croisades et le voyage spirituel et divin de la jeune fille par-delà le royaume des vivants et des morts, de la réalité et de la légende.





Critiques avis



LA CRITIQUE DE LILI



Carole Martinez nous offre grâce à ce deuxième roman, une histoire passant autant par le merveilleux que par des moments de souffrance que l'on partage avec la jeune recluse. Dès la première parole d' Esclarmonde « Je suis l'ombre qui cause. », l'auteur nous entraîne dans un monde saisissant où tous les moindres sentiments nous parviennent au plus profond de nous comme si on les vivait et comme si on appartenait au roman.

Carole Martinez nous raconte aussi la belle histoire d'une jeune fille et d'une mère sensible et dévoué à son peuple malgré la distance matérielle qui les sépare; d'une mère attachée à son enfant bien que cette naissance miraculeuse cache un lourd secret.

A travers les visions d' Esclarmonde allant au-delà des frontières, on peut découvrir le voyage et les difficultés d'une traversée jusqu'en Terre-Sainte, l'atmosphère qui y pesait tout comme les détails de chaque action.

Carole Martinez sait nous faire vivre au plus profond chaque émotion et chaque action de tous ses personnages, tout en gardant une grande sensibilité et une grande poésie rendant ce roman léger mais profond.





L'AVIS DU PUBLIC



Téa91 (inscrit le 12 avril 2011, 22ans)

Lundi 28 Janvier 2013 à 12h54

J'ai beaucoup apprécié ce livre même si je l'ai trouvé un peu court mais très agréable à la lecteur: écrit dans une belle langue et rempli de sensibilité.

Cependant la deuxième partie abordant le thème des Croisades m'a plus déçu que le reste du livre car malgré qu'il soit court, il était très lourd et exagéré.

Je recommande tout de même ce roman à tout ceux qui auraient la possibilité de le lire.


Nadine_des_livres (inscrit le 23 janvier 2010, 36ans)



Mardi 29 Janvier 2013 à 22h13

Je félicite les lycéens qui ont récompensé ce magnifique roman qui le méritait bien.

Comme le dit Lili dans son commentaire, Carole Martinez donne une puissance et une émotion à son histoire de plus en plus rare à trouver.

En nous racontant l'histoire de cette mère confrontée avec le temps à son choix, on assiste à des raisonnements sur la vie et ses problèmes au Moyen-Age mais pouvant très bien être rapportés à notre époque.

Carole Martinez devient vraiment un écrivain à suivre avec un grand avenir possible.

Axel3109 (inscrit le 30 mars 2011, 17ans)

 

Mardi 29 Janvier 2013 à 22h48

Je ne vais pas répéter tous les compliments faits auparavant même si ce roman mérite vraiment d'être féliciter, mais je vais rajouter mon petit commentaire un peu plus négatif cependant pouvant être aussi débattu. Malgré la belle plume de l'auteur, j'ai eu du mal à certains moments, à comprendre les termes de l'ancien français utilisés par Carole Martinez ralentissant la lecteur par mon manque de vocabulaire.






mercredi 3 avril 2013

Prix Goncourt lycéen 1994 : Belle-Mére, critique de Kelly Rainier.


Le prix Goncourt des lycéens a encore frappé !



Après Canines d'Anne Wiazemsky, le magnifique livre de Claude Pujade-Renaud,
 Belle Mère

a été élu en 1994.
 
Claude Pujade-Renaud née en 1932, est une auteur française contemporaine.
 
 


Belle Mère est un court roman en prose de 175 pages.
Les thèmes évoqués sont la folie et l'amour.
L'histoire se passe au XXème siècle, de 1935 à 1983 dans une banlieue encore campagnarde de la région Parisienne.

         Grâce à une petite annonce du Chasseur français, Eudoxie, quarante-sept ans, rencontre puis épouse Armand Bouvier, sexagénaire, veuf comme elle. Celui-ci vit à Meudon Val-Fleury avec son fils Lucien, trente ans passés, taciturne, sauvage peut-être même à moitié fou. Eudoxie s'installe dans le modeste pavillon des Bouvier. La guerre qui survient est fatale à Armand: il laisse à Eudoxie la charge de l'encombrant beau-fils avec qui elle va devoir s’accommoder. Le comportement de Lucien est de plus en plus étrange, il reste enfermé dans sa chambre à écouter la BBC, sans parler, apercevant de temps à autre des fantômes. Il est obsédé par les chats qui se succéderont au nom de Nonotte. Eudoxie va tout faire pour essayer de l'apprivoiser. Lentement, le temps passe et renforce les liens entre ces deux personnages. Petit à petit, ils vont apprendre à se connaître, s'accepter. Arriveront-ils à faire route ensemble? Soudés par une étrange amitié?
Histoire d'une mariée condamnée bien malgré elle à être belle-mère, roman d'un «arrangement» insolite entre deux individus qui ne se sont pas choisis, variation douce-amère sur le troisième âge, ce livre est comme un adieu, à travers le siècle, à une génération de gens simples, discrets, respectueux de leur destin. Dans une écriture complice et toujours vigilante, Claude Pujade-Renaud met surtout en lumière un magnifique portrait de femme, aux plus beaux jours de la petite France des banlieues.

Commentaires:

Rédigé par Madrac le 27 Avril 1994
Superbe roman ! Merci au prix Goncourt des lycéens, leur choix est toujours fantastique !
C'est un beau roman du XXème siècle, plein de poésie marqué par les relations étranges et non conventionnelles qu'entretiennent une belle-mère et son beau-fils. Il est intéressant de voir que des relations qui au départ se vouaient à l'échec deviennent par la suite amicales.

Rédigé par Zgeg94 le 7 mai 1994
Quelles relations spéciales entre une belle-mère et son beau-fils!
Utopique? Beaucoup aimeraient avoir de telles relations avec leur belle mère...
Rédigé par Kikidu93 le 10 mai 1994

Bof bof bof... Malgré un début très prometteur, le roman s’essouffle pour s'achever sur une fin inimaginable. Je m'attendais à mieux de la part de Claude Pujade-Renaud...
La fin tragique choque le lecteur.

Rédigé par Haroldleviking le 2 Juin 1994

Pas d'accord avec toi «Kikidu93»!
Ce court roman nous tient en haleine tout au long du récit. Il ne faut pas toujours espérer une chute heureuse. C'est la vie ;)

Rédigé par Dadou le 5 Juin 1994

Lucien, Eudoxie, deux personnages contraires mais fusionnels. Lui, à moitié fou, elle, douce et calme. Une rencontre vouée au destin. Ils ne se sont pas choisis mais ils se sont trouvés.
Les pensées de Lucien sont philosophiques et laisse à la réflexion.
Quel agréable moment de lecture, on n'en sort pas indemne!

Les Rougon-Macquart : La joie de vivre, critique par Florentine Raffard.

www.litterature-pour-tous.com




La joie de vivre, d’Emile Zola (1884)


Pauline Quenu n’a que onze ans, quand elle devient orpheline et qu’elle est recueillie par des cousins éloignés : les Chanteau, des bourgeois ruinés. Ils habitent à Bonneville, un village miséreux, situé sur la côte normande, que la mer menace perpétuellement de détruire sous la violence de ses marées et ses vagues. Pauline grandit là-bas et se distingue par son altruisme, sa bonté et sa gaieté ; qualités qu’elle conservera tout au long du roman, bien qu’elle se fasse petit à petit dépouiller de son argent par la famille Chanteau et les pauvres du village.  A l’âge de dix-sept ans, elle tombera amoureuse de son cousin Lazare, éternel pessimiste,  ravagé par la peur de mourir et incapable d’être heureux.  Même si son amour est réciproque, Lazare va s’enticher de Louise, une amie d’enfance  coquette et superficielle. Pauline, ayant comme unique défaut la jalousie, parviendra malgré tout à accepter cette idée, car seul lui importe le bonheur de ses proches, même si le sien doit en pâtir. Elle poussera même les jeunes amants à se marier.                                                                                                                                           
 
La souffrance et la maladie sont omniprésentes au fil de l’histoire ; M. Chanteau souffre de violentes et récurrentes  crises de gouttes que seule Pauline parvient à calmer, Mme Chanteau décèdera suite à quelques jours d’agonie et de délire et même notre héroïne frôlera la mort. Finalement, Pauline mènera une vie morose puisqu’elle choisira de rester auprès de son oncle malade à Bonneville alors que tout semblait lui promettre une vie trépidante…

Ce roman est le douzième volet du cycle des Rougon-Macquart ; c’est aussi l’un des moins connus mais pour autant, sa valeur littéraire n’en est pas amoindrie. Vous pourrez le trouver chez votre libraire dans l’édition Livre de Poche, à un prix de 4€55.  Ne vous laissez pas décourager par le nombre de pages, au nombre de 447, car l’histoire  est réellement captivante.

Eponine94

 
Commentaires :

-J’ai beaucoup aimé ce livre, car il était relativement facile à lire pour un roman du grand maître « Zola ». Les descriptions ne sont pas d’une longueur démesurée ; le style est plutôt objectif, et semble retranscrire la réalité sans grandes envolées lyriques. N’étant pas une grande lectrice, je l’ai dévoré en moins d’une semaine.

GaladrielXP (27/01/2013 à 15 : 23)

-Un livre très intéressant… d’un point de vue social et historique. En effet, comme tous les autres romans des Rougon-Macquart, La Joie de vivre se focalise sur des milieux sociaux particuliers ; celui de la bourgeoisie provinciale avec la famille Chanteau, mais aussi de la misère et la débauche, que l’on retrouve chez les habitants de Bonneville.

L’intérêt de ce roman à aussi une visée philosophique, je trouve, si l’on s’intéresse de plus près au personnage de Lazare. En effet, l’époque correspondant à l’histoire est caractérisée par d’immenses progrès scientifiques et médicaux. La vision de l’Homme sur le monde est chamboulée. Lazare, en quête de savoir,  fait des études et pense qu’il pourra contrôler et comprendre tous les phénomènes obscurs et inexpliqués, en particulier la mort, qui l’effraie beaucoup. Mais plus il avance dans sa vie et ses études, plus il se rend compte que l’Homme ne contrôle rien et qu’il est impuissant. Un roman très psychologique, au final.                                                                                      Dans la préface, il est dit que Zola s’est inspiré de lui dans le personnage de Lazare, car la mort de sa mère l’aurait dévasté.

HarryPotter19 (27/01/2013 à 16 : 04)

-Je ne suis pas d’accord avec toi GaladrielXP quand tu parles de retranscrire la réalité. Le personnage de Pauline est inhumain. Elle est belle, intelligente, gaie, divertissante, et son unique but dans la vie est de faire le bonheur de son entourage. Elle semble être parfaite, et je ne pense pas qu’il existe sur Terre une personne aussi vertueuse. Zola a voulu créer un idéal je pense ; donc dire qu’il a voulu retranscrire la réalité est faux dans ce roman.

RomanNoirParis (27/01/2013 à 18 :50)

-Le roman m’a plu mais la fin est bâclée : on a le droit a moins de cinq lignes d’explication sur le suicide de la servante Véronique, qui est pourtant présente tout au long de l’action. L’ultime ligne est la phrase « Faut-il être bête pour se tuer ! », prononcée par M. Chanteau, à propos du suicide inattendu de la fidèle servante. Cette phrase ironique tranche complètement avec le tragique de l’histoire.  Je ne comprends pas qu’un si grand auteur ait achevé son roman comme cela.

LaGentilleThénardier (27/01/2013 à 18 : 58)

Prix Goncourt des lycéens 2007 : Le rapport de Brodeck, critique par Mathis Plateau.

Publié le 27/01/13 par Blogspoil



PHILIPPE CLAUDEL

LE RAPPORT DE BRODECK



 
Roman Stock / Le livre de poche – 2009 – 400 Pages


Voilà un livre que je viens de terminer et dont j'ai envie de vous donner mon appréciation

personnelle :

Le Rapport De Brodeck . Avec ce remarquable roman, Philippe Claudel a reçu le prix

Goncourt des lycéens en 2008.


Dans Le Rapport De Brodeck le style est agréable à lire, l'histoire est percutante et touchante. Le
récit que nous fait Brodeck sur son village, sa vie, sur les gens qui ont influencé son destin est
intéressant tout au long du livre. L'auteur ne situe pas l'action, il ne nous donne aucune information
réelle sur les lieux ou l'époque, si ce n'est des noms et des phrases germaniques. L'histoire, celle
d'un crime collectif, pourrait se produire n'importe où, dans n'importe quel pays, à n'importe quelle
époque, même si tout ou presque évoque les camps de concentration, le nazisme etc.. J'ai aimé cet
aspect qui permet de se rendre compte de l'universalité de la bêtise, de la peur et de la lâcheté. Le
roman est très sombre mais malgré tout l'ensemble vaut largement la lecture.

Résumé :

L'histoire est assez simple en somme, Brodeck est un étranger. Il l'a toujours été et le sera toujours. Il

est arrivé dans un village situé on ne sait pas trop où dans le monde. Il apparaît très vite que seuls

les natifs de ce village ne sont pas des étrangers, les autres sont considérés comme tels.

D'ailleurs, un de ces étrangers va en payer le prix fort. Il va être assassiné. Mais comme les gens du

village n'assument pas, ils demandent à Brodeck de faire un rapport (d'où le titre du livre).

Dans ce rapport, Brodeck doit expliquer pourquoi les villageois n'avaient pas le choix et étaient

obligés de tuer ce nouvel arrivant un peu trop gênant.

Mais Brodeck ne va pas se contenter d'écrire le rapport, il va y décrire sa vie, dans le désordre, mais

toujours avec émotion, une vie qui est loin d'avoir été simple.

Sa vie va nous emmener dans les bas fonds d'une guerre où les hommes ne se font pas de cadeaux,

c'est le témoignage du côté sombre des hommes.


Ma Note : 8,5/10



Citations Marquantes :

- " Toutes blessent, une tue " Devise inscrite sur une montre de carosse allemande.

-"Je ne suis rien je le sais, mais je compose mon rien avec un petit morceau de tout." Victor Hugo. Le

Rhin.

Commentaires :


Anonymous (30/02/13) : Ce livre est fantastique !

F.Du94 (12/03/13) : J'ai lu et apprécié ce livre aussi bien par sa douceur a décrire l'horreur que

pour la facilité avec laquelle l'auteur passe d'un sujet à un autre.

LaFouine (30/02/13) : C'est un livre compliqué à lire à cause des nombreux retours en arrière.

L'auteur joue avec le temps, et déstabilise le lecteur. Néanmoins c'est un beau récit, qui est bien écrit

et réfléchit.
 
 

Ginette84 (3/03/13) : Ce livre est super ! Merci Philipe Claudel.

Toutefois, ce qui m' a vite perturbé c'est clairement les incessants retour dans le passé. On navigue

souvent entre le rapport de Brodeck, l'arrivée de l'Anderrer, le passé de Brodeck etc.

Malgrès tout l'ensemble vaut largement la lecture.

Prix Goncourt lycéen 2004 : Un secret, critique par Réva Peker.

http://revatmospherelitteraire.blospot.com







Critique littéraire: Zoom sur… « Un secret » de Philippe Grimbert.
 
Article publié par Réva PEKER, le 27 mai 2004 à 17h36.  
 
 
 
 
 
Un Secret, récit rétrospectif, a été publié pour la première fois le 5 mai 2004 chez Grasset et Fesquelle. Il a été écrit par Philippe Grimbert, de son nom original Grinberg (nom aussi emprunté dans le livre),  écrivain (romancier) et psychanalyste né en 1948 à Paris.


Le thème principal abordé dans ce roman est la Seconde guerre Mondiale : La vie d’une famille juive vivant à cette époque est racontée à travers les pensées du fils de la famille, qui est aussi le narrateur et l’écrivain.

 

Le narrateur est un petit garçon de l’Après-guerre né dans une famille juive. Il est fils unique ; c’est un enfant de santé fragile. Il grandit dans une maison où un grand secret évolue au fil des années. Les questions y sont interdites, au grand désespoir du petit garçon. Ce dernier a réelement besoin de rompre ce silence, qui l’empêche de grandir et d’évoluer correctement. Il réussira finalement à trouver des réponses à ses questions, auprès d’une amie de la famille, voisine, et infirmière. Le terrible secret va peu à peu refaire surface.

Au commencement du livre, le petit garçon raconte qu’il s’était inventé un frère. Cette personne imaginaire prit une telle place dans sa vie, qu’il n’en dormait plus la nuit. Il hantait ses pensées. Il éprouve le besoin de se confier à une personne, en l’occurrence Louise, sa confidente. Il s’imagine le passé de sa famille lisse et tranquille, jusqu’à ce que cette femme lui révèle LE lourd et bouleversant secret.

                Je ne vous en dirais pas plus… Je ne dirais pas que je ne vois aucun intérêt à livre le livre si on connaît la fin, mais presque. Je vous laisse donc dans le suspens ! A vous de découvrir ce livre… Pour les curieux, vous pourrez trouver ce livre dans n’importe quelle librairie, en ligne ou non !

 

Cet ouvrage faisait partie des sélections pour les prix Médicis, Femina et Goncourt 2004. Il a finalement reçu le Goncourt des lycéens 2004, celui des lectrices de Elle 2005 et le prix Wizo 2005.

 

 

123 commentaires à propos de : Critique littéraire: Zoom sur… « Un secret » de Philippe Grimbert.

 

Alicelectrice09

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A propos de : Un secret

 

31/05/2004 14h51: J’ai apprécié lire Un Secret, de Phillipe Grimbert. L’auteur raconte, à travers ce libre, son enfance, son expérience et son vécu. Tout au long du récit, nous nous mettons à la place du narrateur qui nous raconte cette période douloureuse et difficile de sa vie. Les faits racontés sont bouleversants. Cette histoire apparaît comme une illustration, un témoignage d’une personne de religion juive, menacée,

 

qui nous raconte tel que dans un journal intime, son ressenti pendant la Seconde Guerre Mondiale.  Tout le livre est réaliste, ce qui nous permet de comprendre, d’imaginer et de connaître plus en détails les évènements historiques de l’époque : la déportation des juifs, la vie des familles sous l’Occupation, etc. Ce livre nous fait vraiment réfléchir, et m’a personnellement aidé à me mettre dans la peau d’une famille persécutée, pour comprendre ce qui s’est réellement passé. Ici, l’enfant a grandi dans le secret et l’ignorance !! Le fait d’apporter les pièces manquantes au puzzle (la vérité à propos de sa famille) l’a aidé à grandir et à se sentir bien dans sa peau. Le fait que ce roman soit autobiographique rend l’histoire, les faits d’autant plus tristes et émouvants, puisque nous prenons réellement conscience de la gravité des faits ; tout cela s’est vraiment passé. Un dernier mot ? J’AIME ET JE RECOMMANDE CE LIVRE !!! Il n’a pas été élu Prix Goncourt des Lycées pour rien !

 

 

93islacooldouce

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A propos de : Un secret

 

21/08/2004 12h37: « Fils unique, j'ai longtemps eu un frère.” Bah oui, logique mon gars ! Non mais sérieusement… Dès la première phrase, la couleur du livre est annoncée: ENNUYANT! Evidemment, il existe des livres qui n'ont pas besoin de faire des centaines de pages pour être prenants (mais ce n’est pas le cas de celui la !!!!). La période concernant la Seconde Guerre Mondiale me laisse rarement indifférent, mais ce roman ne m’a cependant pas captivé et loin de là ! Marre de ce sujet qui ressort si souvent ! Il faut oublier cette période difficile !! Et ce n’est pas comme ça qu’il faut s’y prendre !!!!!! Certes, ce roman est très bien écris, mais sa simplicité est peu être signe d’un manque de style d’écriture et d’imagination, ne pensez-vous pas ??? On pourrait le faire lire à des gamins de collège… J’ai terminé ce livre en quelques heures seulement : je ne me suis pas précipité pour connaître la fin, mais plutôt pour en finir vite. Je n’y trouve aucun intérêt ! :-(((  Dommage ! Je ne regarderai pas le film non plus, pas envie de me farcir deux fois la même histoire !

 

 

fande-xPaulmccartney

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A propos de : Un secret

 

21/08/2004 12h59: Réponse à 93islacooldouce. Je ne suis pas du tout d’accord avec toi !!!!!! Un Secret est un livre que je ne suis pas prête d’oublier ! Celui-ci ne m’a pas laissé insensible… (Cela n’aurait pas été possible autrement!) Récit émouvant, d'une grande pudeur. (La phrase « Des gares dont on ne revient pas » p102 dans l’édition Livre de Poche, m’a fait beaucoup réfléchir et m’a profondément touché !)  L'écriture est belle, simple, les sentiments sont sincères ; on évite les détails glauques et sordides, les exagérations qui ne seraient pas épargnés dans certains autres livres du même genre.  La lecture de ce livre fut pour moi, un réel plaisir ! J’ai d’ailleurs fini de le lire en une après midi !!!! Apparemment pas pour les mêmes raisons que toi…  Une fois plongée dans cette histoire captivante, je n’ai pu m’en défaire !  Beau, triste, émouvant, moderne et historique. C’est par ces 5 mots que je définirais ce récit. Un livre à lire !!!! :-)

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