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des passionnés des lectures :
30
janvier 2013 :
Magnus de Sylvie Germain.
Avant de vous parler du roman je
vais avant tout vous parler de l’auteure.
Sylvie Germain est née en 1954 à
Châteauroux, c’est une écrivaine française et qui avant cela avait été
documentaliste professeur de français et de philosophie à l'École française
de Prague.
A
présent, je vais vous faire une petite analyse de l’œuvre, vous le résumer…
Magnus est un roman français parut pour
la première fois en 2005 ; c’est un journal dont le sujet principalement
est la mémoire lacunaire de Franz-Georg. L’histoire se passe après la seconde
guerre mondiale en Allemagne, au Mexique et en Angleterre.
Le
roman s’ouvre sur le personnage de Franz-Georg : il a perdu une partie de
sa mémoire, âgé de 10 ans, il ne se souvient plus de ses 5 premières années de
vie. Seul témoin de se passé Magnus son nounours en peluche. Nous sommes en
Allemagnes dans les dernières années de la seconde guerre mondiale. Les parents
de Franz-Georg changent de nom puis disparaissent l’un après l’autre ;
tout d’abord son père s’exile à l’étranger car c’est un nazie et qu’il risque
d’être arrêté. Un jour, sa mère apprend la mort de son mari et elle meurt
quelque dans plus tard. Entre-temps elle a confié son fils à son frère Lothar
qui a emmené ce dernier en Angleterre. Leurs relations restent froides et
superficielles. De multiples questions sur son identité le préoccupent. Il a
compris une chose son père nazis a exercé s médecine sur les prisonniers des
camps.
Devenu
un jeune adulte, amoureux d’une jeune femme qui l’a à peine remarqué, il quitte
l’Europe pour le Mexique, sur les traces de son père. Là-bas il fait la
connaissance de May de qui il s’éprend, une femme marié à un homosexuel.
Victime d’une insolation, des bribes de son passé lui revient en mémoire. May
et lui nouent une relation sereine et épanouissante qui dure une dizaine
d’année. Durant cette période, il découvre qu’il n’est pas le fils de ses
parents allemands, que ces derniers l’ont adopté. En hommage à son ours en
peluche, il prend le nom de Magnus, changeant une nouvelle fois son identité.
Un jour, May succombe à une grave maladie et le jeune homme reste seul. Il
choisit donc de rentré en Angleterre pour prendre soin de son ongle qui a
vieillit. Il retrouve Peggy son premier amour. Elle vit seule, ayant perdu son
mari. Celle-ci cherche un professeur d’Allemand. Magnus se propose et ils se
voient régulièrement. Ils tombent amoureux et qui l’Angleterre pour s’installer
à Vienne.
Un
soir alors qu’ils dinent dans un restaurant de la ville, Magnus entend et
reconnait la voix de son père et ce denier qu’il croyait mort occupe une table
proche de la sienne. Sorti du restaurant, il fait passer un message à son père
pour le faire comprendre qu’il l’a reconnu. L’ancien nazi prend peur et, au
volant de sa voiture, il percute Magnus et Peggy. Peggy est tuée et Magnus
reste handicapé. Son père se suicide peu après.
Perdu
et fatigué, Magnus s’installe en France où il décide de vivre dans un endroit
retiré. Il fait tout de même la connaissance d’un moine qui l’aidera et l’éclairera
avant de mourir à son tour. A la fin du récit, Magnus est devenu serein et
quitte le monde, reposé, ayant enfin pu laisser les interrogations sur son
passé derrière lui.
Je
trouve que ce livre est incroyable car malgré le fait que Franz-Georg
ait perdu la mémoire et que son identité soit modifiée à plusieurs reprise, il
finira par se rappeler de son passé et par mourir heureux.
PRIX : 17,50
euros EDITION : Albien
Michel
1°Je trouve que cette histoire est intéressante mais je trouve que le
personnage principal est stupide car il se fait manipuler sur son passé sans
même demander des preuves quelconque. Rédigé par : Adriana /le
30 janvier à 22h35. 2°Non, moi je trouve que Franz-Georg est
plutôt courageux car malgré le fait qu’on lui mente sur son passé et que lui
change régulièrement son identité, il ne se laisse pas abattre et continu sa
vie normalement. Rédigé par : Robine /le 30 janvier à 23h49.
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